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Plastique : le poison invisible que nous partageons avec les générations futures

  • oliviertoma
  • 8 avr.
  • 2 min de lecture

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En cette Journée mondiale de la santé, nous devrions célébrer les progrès médicaux, la longévité, les campagnes de prévention. Et pourtant… il est temps d’ouvrir les yeux sur une menace silencieuse, omniprésente, qui progresse à chaque seconde : la pollution plastique.


Sur toutes les plages du monde, dans toutes les prairies, dans les forêts, les montagnes, les déserts, jusque dans les plus profonds des océans, des déchets plastiques jonchent le sol.Et pourtant… avez-vous déjà vu quelqu’un jeter une bouteille de soda ou un paquet de chips en pleine nature ?Non. Et pourtant ils sont là. Partout.Le plastique est le seul déchet que nous produisons tous… sans jamais l’assumer.


Des chiffres qui font froid dans le dos

  • 10 tonnes de plastique produites chaque seconde dans le monde.

  • 1 tonne termine dans les océans toutes les 2 secondes.

  • Le plastique met des décennies à se dégrader, se fragmente lentement en microbilles.


Un poison universel et invisible

Ces microbilles s’infiltrent dans tout :

  • Dans l’eau que nous buvons,

  • L’air que nous respirons,

  • Les aliments que nous consommons (miel, poissons, sel...),

  • Et même dans le sang humain… y compris celui du cordon ombilical des nouveau-nés.


La plupart de ces plastiques contiennent des produits chimiques issus du pétrole : perturbateurs endocriniens avérés, liés à une explosion de problèmes de fertilité, de malformations, de puberté précoce, de cancers.


Et si nous changions de message ?

Parler d’environnement ne suffit plus.Il est temps de parler santé. De notre santé.Car jeter du plastique, c’est créer les maladies de demain.C’est nourrir les cellules humaines de substances toxiques, de génération en génération.


Des gestes simples… aux effets majeurs

  • Réduire les usages uniques

  • Réemployer les contenants

  • Trier, recycler, revaloriserCes gestes, nous les connaissons. Mais il faut les requalifier : ce ne sont pas que des gestes écolos.👉 Ce sont des gestes de santé publique préventive.


Conclusion

Le message est simple :

Jeter un déchet plastique n’est pas un simple manque de civisme. C’est un acte qui fabrique nos maladies, et celles de nos enfants.

Ce 7 avril, Journée mondiale de la santé, diffusons ce message à grande échelle

Un simple partage peut faire prendre conscience. Et éveiller, peut-être, le déclic nécessaire.

Ensemble, agissons pour la santé des générations futures.

 
 
 

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