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  • 🛒 Le pouvoir est dans le caddie : les achats durables au service de la RSE 🌍

    🛒 Le pouvoir est dans le caddie : les achats durables au service de la RSE 🌍 Le gouvernement vient de lancer un portail dédié aux achats durables 👉 achats-durables.gouv.fr Ce nouvel outil est une véritable boussole pour les acheteurs publics : ✔️ Connaître ses obligations réglementaires . ✔️ Sélectionner des clauses et critères responsables . ✔️ Se former gratuitement grâce à des MOOCs en ligne . ✔️ Bénéficier d’un "guichet vert" , un conseil environnemental sur-mesure pour les achats publics. 🔑 Les achats responsables : un levier incontournable pour toute démarche RSE . En intégrant des critères durables dans les marchés, nous pouvons répondre à trois défis majeurs :1️⃣ Agir pour le climat .2️⃣ Améliorer les conditions humaines .3️⃣ Préserver les ressources naturelles . Chez PRIMUM NON NOCERE , nous accompagnons les acteurs publics et privés pour transformer les achats en un acte d’engagement concret : ✨ E-learning et Metaformation® pour former vos équipes. ✨ Accompagnement à la mise en œuvre des SPASER . ✨ Un LAB RSE qui analyse les produits et services innovants, moins impactants. ✨ Le SCORICATE , un score d’engagement responsable pour vos fournisseurs. ✨ Le Certificat "OK THQSE®" , qui garantit des produits conformes aux critères les plus exigeants et vérifiés par nos soins. Notre mission ? Lutter contre le greenwashing et déjouer les allégations trompeuses en décryptant les impacts réels. Nous croyons qu’ agir en conscience , c’est construire un avenir plus durable, marché par marché. 🔎 En conclusion, ce portail et nos outils sont une opportunité d’agir efficacement. Parce qu’ acheter, c’est voter 🗳️. Transformons ensemble chaque achat en une victoire pour la planète 🌱 et pour les générations futures 👶.

  • Les microplastiques : une menace invisible pour la santé humaine

    Les microplastiques : une menace invisible pour la santé humaine Les microplastiques, ces particules de plastique inférieures à 5 millimètres, sont omniprésents dans notre environnement. Ils proviennent de la dégradation des déchets plastiques et de produits contenant des microbilles, tels que certains cosmétiques. Leur présence croissante suscite des inquiétudes quant à leurs impacts sur la santé humaine. Présence des microplastiques dans l'environnement Les microplastiques sont détectés dans divers milieux : océans, sols, air et même dans nos aliments. Ils pénètrent les écosystèmes marins, affectant la faune et, par extension, la chaîne alimentaire humaine. Des études ont révélé leur présence dans des produits de consommation courante, tels que le sel, la bière et l'eau en bouteille. Impacts sur la santé humaine Des recherches récentes ont mis en évidence la présence de microplastiques dans le sang humain. Une étude néerlandaise a détecté des particules plastiques dans 80 % des échantillons sanguins analysés, suggérant que ces particules peuvent circuler dans le corps et potentiellement s'accumuler dans les organes. Les effets sur la santé sont encore en cours d'évaluation, mais des préoccupations existent quant à leur potentiel à provoquer des inflammations, des perturbations endocriniennes et des effets toxiques liés aux additifs chimiques présents dans les plastiques. Les microplastiques pourraient également servir de vecteurs pour des polluants environnementaux, amplifiant ainsi leur nocivité. Coûts économiques et sanitaires Un rapport parlementaire français a récemment souligné les coûts exorbitants associés à la pollution plastique, qualifiant le plastique de "poison" pour la santé humaine. Les dépenses liées aux soins de santé pour traiter les maladies attribuables à l'exposition aux microplastiques, ainsi que les pertes économiques dues à la diminution de la productivité, sont considérables. La production de plastique a doublé au cours des vingt dernières années, et devrait dépasser 500 millions de tonnes pour l’année 2024 : de quoi emballer 50 fois la France dans un film alimentaire. Selon les projections de l’Organisation de coopération et de développement économiques, cette production exponentielle devrait atteindre le milliard de tonnes avant 2050, si rien n’est fait. Mesures préventives et recommandations Pour atténuer les risques associés aux microplastiques, il est essentiel de : Réduire l'utilisation de plastiques à usage unique : privilégier des alternatives durables et réutilisables. Améliorer la gestion des déchets plastiques : renforcer le recyclage et promouvoir des pratiques de consommation responsables. Encourager la recherche : approfondir les études sur les impacts sanitaires des microplastiques pour élaborer des politiques publiques informées. Conclusion Les microplastiques représentent une menace insidieuse pour la santé humaine et l'environnement. Une action concertée est nécessaire pour limiter leur propagation et protéger les générations futures.

  • Le nouveau règlement européen sur l'écoconception des produits durables

    Le nouveau règlement européen sur l'écoconception des produits durables, publié le 28 juin 2024, vise à renforcer la durabilité des produits sur le marché de l'Union européenne. Ce texte remplace la directive 2009/125/CE et élargit son champ d'application à une gamme plus vaste de produits, y compris ceux utilisés dans le secteur de la santé. Principales obligations : Élargissement du champ d'application : Le règlement couvre désormais presque tous les produits, à l'exception notable des denrées alimentaires, des médicaments, des véhicules à moteur et des produits liés à la sécurité nationale. Ainsi, de nombreux dispositifs médicaux et équipements de santé sont concernés. Exigences d'écoconception : Les fabricants doivent concevoir des produits répondant à des critères stricts en matière d'efficacité énergétique, de circularité et de réduction de l'empreinte environnementale. Des actes délégués préciseront les obligations spécifiques pour chaque catégorie de produits. Transparence sur la destruction des invendus : Les entreprises sont tenues de déclarer le nombre de produits invendus détruits et les raisons de cette destruction. La destruction des chaussures et textiles invendus est interdite, avec des exemptions pour les petites et microentreprises, et une période transitoire de six ans pour les entreprises de taille moyenne. Passeport numérique des produits : Un étiquetage spécifique permettra aux consommateurs et aux professionnels d'accéder, via un portail en ligne géré par la Commission européenne, à des informations détaillées sur les caractéristiques de durabilité des produits. Échéances : Le règlement est entré en vigueur le 28 juin 2024. Les obligations spécifiques, notamment celles définies par les actes délégués, seront mises en place progressivement. Les entreprises doivent se tenir informées des calendriers précis pour chaque catégorie de produits afin de se conformer aux nouvelles exigences dans les délais impartis. Moyens mis en œuvre : Accompagnement des entreprises : Des ressources et des guides seront mis à disposition pour aider les fabricants à adapter leurs processus de conception et de production aux nouvelles normes. Surveillance du marché : Les autorités compétentes assureront le contrôle du respect des obligations, avec des sanctions prévues en cas de non-conformité. Portail d'information : La Commission européenne développera un portail en ligne centralisant les informations sur les exigences et les bonnes pratiques en matière d'écoconception. Impact pour les établissements de santé et les industriels des produits de santé : Les établissements de santé devront s'assurer que les équipements et dispositifs médicaux qu'ils acquièrent sont conformes aux nouvelles normes d'écoconception. Les industriels du secteur devront adapter leurs processus de conception et de fabrication pour répondre aux exigences accrues en matière de durabilité, tout en garantissant la sécurité et l'efficacité des produits. En somme, ce règlement marque une étape significative vers une économie plus circulaire et durable, impactant directement le secteur de la santé. Il est essentiel pour les acteurs concernés de se préparer dès maintenant aux changements à venir.

  • Les déchets sauvages : Menace pour l’environnement et la santé

    Les déchets sauvages : menace pour l’environnement et la santé Dans les forêts, les champs, et même aux abords de nos villes, des tonnes de déchets sauvages continuent de souiller la nature. Ce fléau n’est pas qu’un désagrément visuel ; il représente un danger bien plus profond pour notre environnement et notre santé. La face cachée des déchets sauvages Les déchets les plus fréquents dans nos espaces naturels sont souvent d'origine industrielle ou de chantier. On y retrouve de grandes quantités de plastique, de gravats, de l’amiante, de nanoparticules des métaux et des métaux lourds. Ces matières se dégradent lentement, relâchant dans nos sols, l'eau et même l'air des microparticules et substances toxiques. ⚠️ Un impact direct sur notre santé : L’amiante et les métaux lourds sont connus pour leurs effets nocifs sur la faune et les écosystèmes. Au fil du temps, ces éléments finissent par s’infiltrer dans les nappes phréatiques, polluant l’eau que nous consommons. Et ce n'est pas tout : ces décharges illégales sont propices au développement de maladies. 🚨 Des dangers physiques immédiats : Ces dépôts sont également jonchés de débris coupants et piquants, risquant d'infliger des blessures graves à la faune sauvage et aux promeneurs. Une pollution évitable L’ironie, c’est qu’en France, nous avons un réseau de déchèteries gratuites pour les particuliers et accessibles aux professionnels. Pourtant, les entrepreneurs peu scrupuleux contournent ces structures en déposant leurs déchets directement dans la nature, malgré les écotaxes intégrées dans leurs devis et factures. 🚫 Éviter les travaux « au noir » : En faisant appel à des services non déclarés, les économies apparentes masquent des coûts cachés : les pollutions supplémentaires à dépolluer et des risques accrus pour la santé publique. Valoriser les matières résiduelles : de déchet à ressource Il est crucial de ne plus parler de « déchets », mais de matières résiduelles , car beaucoup d'entre elles peuvent être valorisées. L'économie circulaire permet de réutiliser ces matériaux, de transformer les gravats en matériaux de construction ou les plastiques en combustibles alternatifs. Chaque geste compte ! Un poids alarmant En 2020, 1 million de tonnes de déchets sauvages ont recouvert la France . Si nous continuons sur cette voie, la nature, un jour, nous rappellera que trop, c'est trop. Face à cette crise, soyons le changement que nous voulons voir, pour notre santé et celle des générations futures.

  • RSE4LIFE – Votre Rendez-vous RSE Hebdomadaire

    RSE4LIFE – Votre Rendez-vous RSE Hebdomadaire Bienvenue dans cette nouvelle édition de RSE4LIFE ! Alors que le mois de novembre débute, les événements et initiatives en faveur de la responsabilité sociétale se multiplient en France et en Europe. Cette semaine, nous faisons le point sur les avancées dans les négociations internationales et les mesures d’adaptation aux changements climatiques en France. Les nouvelles RSE de la semaine COP de Cali : La Convention sur la diversité biologique, en Colombie, entre dans sa dernière semaine de négociations, avec la ministre française de la Transition écologique, Agnès Pannier-Runacher, présente pour représenter la France. Ces discussions visent à renforcer la protection des écosystèmes et à fixer des objectifs concrets de préservation de la biodiversité mondiale, un enjeu crucial alors que la biodiversité est sous pression intense​ Rupture Engagée . Étude Lancet Countdown : Le rapport 2024 du Lancet Countdown , qui sera publié le 30 octobre, soulignera les impacts du changement climatique sur la santé mondiale. Ce rapport met en avant la nécessité d’adapter les systèmes de santé aux risques croissants liés au climat, un enjeu que le nouveau Plan national d'adaptation au changement climatique (PNACC 3) en France cherche également à anticiper. Plan d'adaptation climatique en France (PNACC 3) : Présenté fin octobre par le Premier ministre Michel Barnier, ce plan ambitieux détaille plus de 200 actions visant à adapter les infrastructures et les services publics français d'ici 2030, en s'attaquant aux défis posés par le réchauffement climatique, de la gestion de l'eau à l’adaptation des systèmes de santé face aux vagues de chaleur. Études des plateformes de streaming : Une analyse conjointe de l’Arcom, l’Arcep et l’ADEME se penche sur l'empreinte écologique des plateformes de streaming. Alors que la demande de durabilité s'accroît chez les consommateurs, les plateformes sont confrontées à des défis d'efficacité énergétique et de réduction de leur impact environnemental. Le sujet de la semaine : La santé face au défi climatique Avec le lancement du PNACC 3 , la France met en œuvre une série de mesures pour protéger les établissements de santé des impacts du changement climatique. Ce plan inclut une étude prospective sur l’adaptation des ressources humaines et des infrastructures, prenant en compte des scénarios de réchauffement jusqu'à 4°C. L’accent est mis sur la formation des professionnels pour reconnaître et traiter les maladies liées au climat et sur des investissements pour moderniser les bâtiments afin qu’ils résistent mieux aux extrêmes climatiques​ Rupture Engagée ​ Événements à suivre la semaine prochaine Mardi 5 novembre : Reprise de l’examen de la première partie du budget 2025 à l'Assemblée nationale, incluant des discussions sur le financement de projets environnementaux. Mercredi 6 novembre : Forum Responsible Business Europe à Bruxelles, abordant les stratégies d'entreprise pour la transition écologique et la compétitivité durable. Cet événement hybride regroupe des acteurs européens pour échanger autour des solutions climatiques (en ligne et présentiel)​ Rupture Engagée . Conclusion Nous vous remercions de suivre RSE4LIFE et de rester informés sur les initiatives RSE. Cette semaine marque un tournant pour la biodiversité et la santé face aux enjeux climatiques. Continuez à explorer, partager et agir pour une société plus responsable et résiliente. À la semaine prochaine !

  • Adaptation ou transition ? Entre les lignes du PNACC3

    Le Nouveau Plan National d’Adaptation au Changement Climatique (PNACC3) vise à adapter la France à un futur où le réchauffement pourrait atteindre +4°C d’ici 2100. L'enjeu majeur est de préparer le pays à des conditions climatiques extrêmes, limitant les impacts environnementaux, économiques et sociaux, tout en protégeant la biodiversité et les ressources naturelles. Enjeux Principaux Le PNACC3 repose sur la réalité de plus fréquents événements climatiques sévères (inondations, sécheresses, vagues de chaleur). Ces phénomènes affectent non seulement les infrastructures, mais aussi la santé publique, les rendements agricoles et la stabilité de la biodiversité. Le défi est d’assurer une résilience accrue, d’anticiper et de réduire les risques tout en impliquant les citoyens dans l'adaptation. Solutions Proposées Le plan identifie cinq axes prioritaires : 1. Protection de la Population : Actions renforcées pour protéger la santé, avec des systèmes d’alerte et de surveillance sanitaire, particulièrement pour les populations vulnérables. 2. Résilience des Territoires et des Infrastructures : Des plans spécifiques pour l’adaptation des bâtiments, infrastructures de transport, et installations industrielles aux conditions extrêmes, en misant sur des solutions de construction durable. 3. Préservation des Écosystèmes et de la Biodiversité : Adaptation des forêts, des zones humides et du littoral. Les solutions de reforestation, renaturation des sols et protection des habitats naturels contribuent à maintenir la diversité biologique. 4. Soutien aux Secteurs Économiques : En particulier pour l’agriculture et le tourisme, des adaptations sectorielles pour limiter l'impact économique. Cela comprend des pratiques agricoles résilientes, des assurances pour les aléas climatiques et des mesures d'accompagnement pour les entreprises. 5. Gouvernance et Implication Citoyenne : Renforcement de la participation citoyenne, notamment par des consultations publiques et des dispositifs d’éducation au changement climatique. Moyens Mis en Œuvre Les moyens financiers et logistiques mobilisés sont importants. Le gouvernement investit dans des outils de cartographie des risques, des subventions pour l’adaptation territoriale et des aides sectorielles. Un accent est mis sur la formation des agents publics et des élus locaux, ainsi que sur la mise en place d'indicateurs pour évaluer l'impact des mesures. Un focus spécifique sur le secteur de la santé Pour répondre aux défis climatiques au sein des établissements de santé, le nouveau plan renforce les actions spécifiques pour adapter les hôpitaux et autres structures médicales. Le Premier ministre a souligné la nécessité de moderniser les infrastructures afin de résister aux événements climatiques extrêmes, comme les canicules et les inondations, qui mettent à risque les soins aux patients. Des budgets additionnels sont alloués pour la rénovation énergétique des bâtiments hospitaliers, le développement de systèmes de refroidissement durables, et la formation des personnels de santé aux pratiques résilientes. Ces mesures répondent aux enjeux de santé publique exacerbés par le climat, assurant que les établissements restent opérationnels et accessibles lors de crises climatiques. Pourquoi ne pas créer un (FREH) Fond pour la Rénovation Energétique Hospitalière indexée sur le taux d’évolution de la consommation d’énergétique des établissements?. Conclusion Le PNACC3 marque une avancée majeure dans la gestion proactive des défis climatiques. En intégrant la protection des personnes, la sauvegarde des écosystèmes et la mobilisation citoyenne, il s’agit de préparer le pays à un avenir résilient face aux incertitudes climatiques.

  • La Toxicité Financière en Santé : Analyse et Implications

    L'étude publiée dans le Journal of Oncology Practice explore la notion de « toxicité financière » liée aux soins de santé, un terme désignant l'impact économique subi par les patients qui affrontent les coûts des traitements, notamment en oncologie. Cette toxicité financière résulte des dépenses directes pour les médicaments et soins, mais également des coûts indirects, comme les pertes de revenus ou les frais annexes. Aux États-Unis, le système de santé, fortement dépendant des assurances privées et de la capacité de paiement individuelle, met en lumière cette toxicité financière. Les patients atteints de cancer doivent souvent puiser dans leurs économies, contracter des emprunts, voire vendre leurs biens pour financer leur traitement. L'étude montre que ce fardeau financier a des répercussions graves, non seulement sur la qualité de vie des patients, mais également sur les décisions médicales elles-mêmes. Ainsi, face aux coûts élevés, certains patients renoncent à des soins essentiels, réduisent leurs doses, ou reportent des traitements, ce qui compromet sérieusement leurs chances de guérison. Les auteurs insistent sur l'importance d'une prise en charge intégrée, tenant compte des implications économiques de chaque traitement pour mieux accompagner les patients et leur famille. Ils proposent également des pistes de réflexion pour améliorer la gestion des coûts de santé et limiter l'impact financier sur les individus, notamment par des programmes d'aide et des partenariats avec les institutions de santé. Une couverture française exemplaire : Réduire le gaspillage et optimiser les Soins Contrairement aux États-Unis, la France bénéficie d'un système de santé solidaire qui limite considérablement la toxicité financière. Grâce à notre couverture maladie, les patients n'ont pas à contracter de prêts pour accéder à des traitements, comme c’est malheureusement courant ailleurs. Cette situation privilégiée doit nous encourager à aller plus loin en matière de pertinence et de rationalité dans les soins. Chaque euro investi dans la santé devrait être dirigé vers des soins efficaces, sans gaspillage, ni prescription superflue. Améliorer la pertinence des soins, optimiser les parcours de santé, et sensibiliser aux économies possibles dans les dépenses inutiles sont des priorités non seulement économiques, mais surtout sanitaires. Réduire les gaspillages permet de concentrer les ressources sur les traitements nécessaires et de garantir que chaque patient reçoive les soins adéquats, tout en préservant la pérennité de notre système de santé.C'est ce que l'on appelle l'éco conception des soins et des parcours de santé,...rejoignez le mouvement !

  • RSE4LIFE® – Votre Rendez-vous RSE Hebdomadaire - semaine du 28 octobre

    RSE4LIFE – Votre Rendez-vous RSE Hebdomadaire Bonjour à tous et bienvenue dans RSE4LIFE, la newsletter qui vous apporte chaque semaine les nouvelles essentielles et des analyses pointues sur les évolutions de la Responsabilité Sociétale des Entreprises. Notre mission ? Vous offrir une vue complète et inspirante pour agir en faveur de pratiques plus durables et éthiques. 1. Les nouvelles RSE de la semaine Étude Tennaxia-Traace : Une étude récente montre que 36 % des entreprises interrogées ne parviennent pas à localiser toutes leurs données CSRD, révélant des obstacles persistants dans la collecte d’informations extra-financières. Ecovadis & Ulula : La plateforme d’évaluation de performance RSE Ecovadis a racheté la start-up Ulula, spécialisée dans le suivi social et les droits humains. Ce mouvement réaffirme la place stratégique du volet social de la RSE . Sherpa, CCFD-Terre Solidaire et Datactivist : Dans leur nouveau Radar, ces associations révèlent que 57 entreprises sur 279 n’auraient pas publié leur plan de vigilance, soulignant la nécessité d’une plus grande transparence. Tribune de B Lab France : Dans Novethic, B Lab France appelle les entreprises à une “rébellion constructive” pour un modèle économique soucieux du progrès humain et de la protection du vivant . Étude sur les plateformes de streaming : L'Arcom, l'Arcep et l'ADEME ont publié une analyse de l’impact environnemental des pratiques audiovisuelles. Elle révèle le défi pour les plateformes de streaming de répondre à la demande croissante de durabilité de la part des consommateurs. 2. Le sujet de la semaine : Le défi du suivi extra-financier dans les entreprises Les récentes données CSRD soulignent que 36 % des entreprises rencontrent des difficultés à suivre leurs indicateurs. Face aux nouvelles réglementations, une structuration plus efficace devient essentielle pour que la RSE ne soit pas seulement une obligation mais une opportunité stratégique. Plongée cette semaine dans les solutions pour une collecte de données fluide et fiable, et pourquoi ce suivi est fondamental pour la transparence. 3. Événements à ne pas manquer la semaine prochaine Lundi 30 octobre : Webinaire organisé par [Association pour le Climat et la RSE] sur le suivi des politiques climatiques des entreprises (inscription obligatoire). Mardi 31 octobre : Forum Ecovadis Impact sur les avancées en matière de performance sociale des entreprises, en ligne. . Conclusion Merci de suivre RSE4LIFE ! Cette semaine encore, nous voyons l'importance d’une collecte de données fiable et d’une prise de conscience sur les impacts sociaux dans la RSE. Le défi pour les entreprises est grand, mais ensemble, en nous informant et en agissant, nous pouvons contribuer à un avenir durable. À la semaine prochaine !

  • Les Bienfaits de l’Allaitement Maternel pour la Santé et l’Environnement

    Les Bienfaits de l’Allaitement Maternel pour la Santé et l’Environnement L’allaitement maternel : un geste naturel aux bénéfices multiples L’allaitement maternel se révèle être une solution idéale pour la santé des nourrissons, tout en réduisant notre empreinte écologique. Diverses études, comme celle de l'ANSES, confirment que le lait maternel contribue à limiter les risques de surpoids et d’obésité chez les enfants, tout en renforçant leur système immunitaire, notamment face aux infections respiratoires et gastro-intestinales. Les bienfaits de l’allaitement ne se limitent pas à l’enfance, car les anticorps transmis aident les enfants à renforcer leur santé de manière durable, avec des effets protecteurs contre certaines maladies chroniques. Un impact écologique positif Choisir d'allaiter, c'est aussi un acte en faveur de l’environnement. Contrairement aux préparations pour nourrissons, l’allaitement ne génère ni emballages plastiques, ni déchets supplémentaires, et il ne nécessite pas de production industrielle ou de transport massif, réduisant ainsi considérablement les émissions de gaz à effet de serre. En évitant les ressources mobilisées pour la production de lait de vache et des biberons, l’allaitement contribue à un modèle de parentalité écoresponsable. Encourager une prise de conscience collective : les recommandations du Haut Conseil de la santé publique (HCSP) Pour favoriser l’allaitement et ses bienfaits, le HCSP propose des mesures essentielles, comme l’amélioration de la formation des professionnels de santé, une meilleure information des familles, et le renforcement des dispositifs de soutien à l’allaitement dans les espaces publics et professionnels. Ces initiatives visent à faire de l’allaitement un choix facilité, respecté et soutenu pour tous les parents, tout en permettant à chacun de contribuer à une santé durable des générations futures.

  • Une dynamique à Très Haute Qualité Sanitaire Sociale et Environnementale (THQSE®) pour des maternités Éco Responsables.

    Les Hôpitaux accueillent plus de dix-huit millions de Français par an et les maternités environ 700 000 nouveaux nés… Au-delà de leur vocation curative, ces institutions ont une vocation de pédagogie, de prévention et d’accompagnement. Elles jouent un rôle social majeur très apprécié par toutes les générations et sur tout le territoire.   Elles emploient un million de collaborateur en France. Le secteur subit une pénurie de professionnels de santé annoncée depuis deux décennies déjà, elle est d’autant plus à l’œuvre depuis la crise de la COVID. Cette crise ne fait que commencer. La population augmente et vieillit, nous ne formons pas assez de professionnels de santé, l’attractivité des métiers de la santé et des hôpitaux doit être réinvitée pour recruter des compétences et les fidéliser.   Pour proposer une démarche des plus cohérentes, les bâtiments doivent être éco-conçus et le management adapté aux principes et enjeux de la RSE.     Quelles sont les clefs d’une maternité éco-responsable ?   La maitrise de la consommation d’énergies directes et indirectes   La maitrise de la consommation d’énergies directes nécessite d’étudier les techniques d’autoconsommation, de production d’énergies renouvelables, d’isolation du bâtiment, d’éclairages économes et de production de chaleur ou de froid les plus économes.   C’est aussi la prise en considération des transports générés pour l’activité quotidienne. Les transports des salariés, des marchandises, des déchets, des livraisons pour réduire leurs impacts de 40 % d’ici 2030.   Au-delà de la réalisation des bilans d’émission de gaz à effet de serre, il est nécessaire d’anticiper l’empreinte carbone du bâtiment en intégrant l’Analyse du Cycle de Vie des matériaux de construction, pour proposer un bâtiment à faible empreinte carbone.   Garantir la santé des occupants  Les matériaux de construction d’entretien et de rénovation peuvent avoir des incidences sur la santé de l’homme de plusieurs façons :   -        L’exposition peut survenir pendant la fabrication du matériau, -        La santé peut être affectée pendant l’installation, -        Des problèmes de santé peuvent aussi se produire pendant l’utilisation et l’entretien, -        L’exposition peut survenir pendant l’enlèvement et l’élimination,   La plupart des professionnels sont maintenant conscients que les environnements intérieurs peuvent avoir des effets sur leur santé et leur bien-être. Une mauvaise qualité de l’air intérieur, un éclairage médiocre et une ventilation inadéquate sont quelques-uns des facteurs qui contribuent au syndrome du bâtiment malsain (SBM), aux maladies liées aux bâtiments et aux environnements intérieurs malsains.     Proposer des hôpitaux « magnétiques »   Plus les établissements sont engagés dans une démarche RSE plus les professionnels ont et auront tendance à choisir ces organisations réellement engagées, d’où l’importance d’élaborer un scoring THQSE®. C’est une démarche globale qui permet de prioriser les actions à mettre en œuvre tout en respectant les règlementations. C’est un outil de pilotage mais également un outil de notation et de mesure qui grâce au contrôle exercé par un organisme tiers indépendant (OTI) permet d’obtenir une labélisation.       Les hôpitaux ont toujours été construits en intégrant les besoins des patients…demain, il faudra construire des hôpitaux intégrant aussi  le bien-être et la santé des professionnels de santé. Il est donc nécessaire de créer dans un hôpital éco-conçu, des espaces de repos favorisant l’isolation et la déconnexion, des espaces végétalisés, des plans de travail ergonomiques.   Il est important également d’intégrer dans la conception tous les aspects liés à l’intrusion de jour comme de nuit. C’est un sujet quasiment tabou, l’observatoire national des violences hospitalières édite un rapport chaque année qui fait état de plus de 20 000 intrusions, agressions, vols en institution hospitalière. Intégrer ce volet dès la conception est également de nature à garantir aux collaborateurs et aux patients un lieux sécurisé.   Pour assurer sa mission de service public, l’hôpital doit redevenir attractif tant auprès de la population que des professionnels de santé.     Comment proposer un écosystème respectueux des occupants et de son environnement ?   En maitrisant la qualité sanitaire des matériaux de construction , leur taux de composés organiques volatils et le confort hygrothermique, pour optimiser en permanence la qualité de l’air intérieur. (La qualité de l’air intérieur génère par an, plus de 19 milliards d’euros de dépenses). C’est aussi garantir l’absence de nanoparticules dans les matériaux.   En réduisant l’exposition aux risques chimiques en anticipant sur les locaux de stockage dument structurés, ventilés et équipés de capteurs de composés organiques volatiles pour optimiser la gestion de la ventilation.   En supprimant tous les perturbateurs endocriniens dans les matériaux, les produits d’entretien, cosmétiques.   En assurant la promotion de l’allaitement maternel et la suppression de tous ingrédients suspectés de toxicité dans les laits infantiles…   En maitrisant l’analyse du cycle de vie du bâtiment .   En anticipant tous les risques liés à l’exposition aux champs électro-magnétiques .   En concevant un bâtiment permettant de maitriser les consommations d’eau et les effluents liquides et médicamenteux.   En intégrant la production, la livraison, le traitement des effluents gazeux . Il est possible de traiter les gaz médicaux des blocs opératoires pour éviter aux professionnels de les respirer, il est possible de produire de l’oxygène médical sur site, pour éviter les risques de pénurie et les transports. Tout ceci doit s’anticiper en phase d’éco-conception.   En prévoyant des locaux à déchets en quantité suffisante. Les établissements assurent actuellement la gestion d’une dizaine de filières, à très court terme ce chiffre va doubler, il faut donc le prévoir dans les circulations, les espaces de stockage et intégrer des traitements sur site.   En misant sur le confort acoustique. (Nouveau critère HAS 2021)   En gérant les éventuelles nuisances lumineuses internes et externes (Nouveau critère HAS 2021). En privilégiant la lumière naturelle .   En créant des espaces de pause des plus conviviaux pour les collaborateurs et leur permettre de s’isoler véritablement.   En imaginant des espaces de restauration permettant de « décrocher » de l’univers purement hospitalier.   En misant sur l’ergonomie des postes de travail et l’accessibilité.   En prévoyant des espaces ressources pour les patients et les familles pour mettre à la disposition des populations des espaces de formations, d’information pour faire de l’hôpital un lieu d’accueil et de pédagogie centré sur la santé.   En mettant à disposition des parkings à vélos sécurisés et des douches en quantité suffisante sur site.   En concevant les locaux pour permettre de garantir le respect de l’intimité.   En concevant des parcs et jardins , des jardins pédagogiques, des serres thérapeutiques, économes en eau et préservant la biodiversité locale.   En privilégiant des fournisseurs et sous-traitants formés et engagés sur une dynamique de santé environnementale.     Les « 1000 jours ».   Les 1000 premiers jours de vie sont déterminants pour la santé d’un être humain. Il est donc majeur de former l’ensemble des acteurs de la petite enfance à la prévention de l’exposition aux risques.   Gynécologues, sages femmes, maternités, crèches, assistantes maternelles, PMI devraient bénéficier d’un parcours de formation continue et commun pour assurer une prise en charge optimale sur tout le parcours du couple et du nouveau-né. Des expérimentations dans cette dynamique sont en cours, mais hélas encore trop rares.   Les maternités et leurs parties prenantes, comme tous les établissements de santé, ont trois défis à relever dans leur gouvernance :   -    Agir pour le climat -    Préserver le capital humain -    Préserver les ressources naturelles   Alors…rêvons un peu et œuvrons tous ensemble pour agir en conscience.

  • Les organisations « régénératrices », concept ou impérieuse nécessité ?

    Dans un monde aux ressources finies, la régénération, qui va au-delà de la durabilité, émerge comme un principe fondamental pour les organisations tournées vers l'avenir. Les entreprises régénératrices ne cherchent plus seulement à minimiser leurs impacts négatifs, mais aspirent activement à avoir un impact positif, à revitaliser les écosystèmes environnementaux et sociaux dans lesquels elles opèrent. Ce sujet, fondamental et d'une urgence palpable est une nouvelle voie de développement basée sur l’advertance et l’effectuation…   Explorer l'Essence des Entreprises Régénératrices En 2009, Johan Rockström et 28 auteurs ont publié un article fondateur sur les limites planétaires. Leurs travaux ont consisté à comprendre les processus permettant au système TERRE de se maintenir dans des conditions d’équilibre propices à la vie. Neuf processus biophysiques ont ainsi été identifiés.   Ces limites sont :   -       Le changement climatique -       L’érosion de la biodiversité -       La perturbation des cycles biogéochimiques de l’azote et du phosphore, -       Les changements d’utilisation des sols, -       L’acidification des océans, -       La surutilisation mondiale de l’eau -       L’appauvrissement de l’ozone stratosphérique, -        L’augmentation des aérosols dans l’atmosphère, -       Les pollutions chimiques   Une organisation régénératrice n'est pas simplement durable, elle est « revitalisante ». Elle intègre dans ses activités ces neuf limites planétaires. Alors que la durabilité vise à minimiser l'impact négatif, la régénération va au-delà, cherchant à restaurer, renouveler et revitaliser les environnements sociaux et écologiques. Elle reconnaît son rôle au sein d'un réseau plus vaste, visant à créer une valeur positive à travers ses produits, processus et partenariats.   Prenons Patagonia, une entreprise qui ne se contente pas de réduire son empreinte carbone mais qui s'investit activement dans des initiatives de conservation environnementale. Ou encore, Interface, une entreprise de revêtements de sol qui non seulement minimise les déchets mais contribue également à restaurer les habitats naturels à travers son initiative   «Factory as a Forest ».   Nous vous invitons à explorer ce concept à travers le prisme de PRIMUM NON NOCERE, une entreprise qui incarne profondément cette philosophie.     PRIMUM NON NOCERE, sème les graines de la régénération active   Créée avec la vision de devenir un catalyseur de changement, PRIMUM NON NOCERE® développe des outils et des formations qui non seulement sensibilisent à la Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE) et à la santé environnementale mais qui rendent également ces concepts directement applicables et accessibles à toutes les organisations.     Un Engagement Régénératif Authentique Par l'intermédiaire de ses formations, cette structure va bien au-delà de la simple transmission de connaissances. Elle cherche à insuffler un désir d'action, permettant aux salariés des organisations qu'elle accompagne de devenir eux-mêmes des acteurs du changement, adoptant et appliquant des éco-gestes dans leur quotidien professionnel et personnel.   À travers des offres telles que la Fresque Intégrale®, le HealthTruck, la démarche THQSE, elle ne se contente pas de parler de changement, mais elle le met en pratique. Cette méthodologie interactive oriente les participants vers des solutions concrètes et réalisables, transformant la régénération, non seulement en une idée inspirante , mais surtout  en une voie accessible et réalisable.   En interne, elle est la preuve vivante que l'on peut animer une entreprise tout en étant respectueux de l'environnement et de la santé des salariés et des éco systèmes. Par des actions telles que la réduction de leur empreinte carbone et la suppression des produits chimiques, cette équipe ne prêche pas simplement la régénération, elle la vit.   PRIMUM NON NOCERE® est un exemple éclatant de ce qui peut être une entreprise régénératrice en action. En s'engageant de manière authentique, en mettant en place des pratiques internes cohérentes avec ses principes et en déployant des outils, des méthodes et des formations qui sèment les graines du changement au sein d'autres organisations. Ils se donnent comme objectif d’illuminer un chemin vers un avenir où les entreprises ne sont plus simplement des entités économiques, mais des forces de régénération actives au sein de notre monde. L’organisation devient un mode d’émancipation, d’innovation permanente et de créativité au service de son éco système.   La santé et le bien-être des collaborateurs : Un engagement régénératif Au cœur de leur mission réside un principe fondamental : considérer chaque collaborateur non pas seulement comme un employé, mais comme un « client » à part entière. L’objectif étant de répondre à leur besoin, pour les fidéliser et être des plus attractifs. Cette vision, caractéristique des entreprises « ouvertes », traduit une reconnaissance profonde du rôle de chaque individu dans la dynamique et le succès de l'entreprise.   Agir pour le climat concrètement. Pour agir sur le changement climatique, on le sait, il faut réduire les consommations d’énergie fossile directes et indirectes. Ils ont isolé leur bâtiment, créé un jardin potager en toiture, la terre fertile permet ainsi l’été de ne plus climatiser le bâtiment et de fournir des légumes de saison ! Ils ont créé des outils de mesure et d’accompagnement de près de 500 fournisseurs et industriels sur leur propre décarbonation, pour ainsi avoir un impact le plus large possible sur les achats, la production et la valorisation des déchets et l’éco-conception des bâtiments.   Un Engagement pour la Santé Intégrale Allant au-delà du concept traditionnel de la Qualité de Vie au Travail (QVT), ils portent en interne une dynamique de Qualité de Vie et de Santé (QVS) pour leurs collaborateurs. La santé n'est pas seulement perçue sous l'angle professionnel, mais englobe le bien-être physique et mental global. Ainsi, l'entreprise met à disposition des services d'ostéopathie pour prévenir les troubles musculosquelettiques et  des séances de réflexologie plantaire mensuelles. Cette approche préventive vise à assurer le bien-être des collaborateurs dans leur intégralité, pas seulement dans leur rôle professionnel. Leur crédo « mettre à la santé au cœur des organisations ».   Éducation et Écogestes Fidèle à leur mission, ils veillent à ce que chaque membre de leur équipe soit informé et formé aux écogestes essentiels. Ce n'est pas seulement une démarche professionnelle, mais une invitation à adopter un mode de vie sain et respectueux de l'environnement pour soi et sa famille.   Alimentation Saine et Locale Reconnaissant le lien intéressant entre alimentation, santé et bien-être, ils partagent une fois par semaine un repas équilibré, conçus à partir de produits locaux, biologiques et de saison. L'absence de protéines animales et la production de légumes directement sur la terrasse comestible de l'entreprise témoignent d'un engagement résolu en faveur d'une alimentation responsable et saine.   Gouvernance Partagée : Libérer la voix et l'innovation Mais la régénération ne concerne pas uniquement la santé physique. Leur structure même basée sur une gouvernance partagée, associe l'esprit entrepreneurial de chaque collaborateur. En donnant à chacun la possibilité de participer aux décisions, ils reconnaissent et valorisent l'apport unique de chaque individu, créant ainsi un environnement de travail stimulant, innovant et épanouissant.   Cette approche intégrée du bien-être démontre qu’ils ne se contente pas d'appliquer les principes de régénération à leur environnement externe, mais s'assurent également que leurs valeurs sont profondément ancrées dans leur culture interne.   Élargir l'Horizon : Une alliance stratégique pour multiplier l'impact Dans leur quête incessante d'amplifier leurs impacts, ils ont a récemment franchi une étape majeure en s'associant avec l'un des plus grands groupes mondiaux de conseil et d'audit, GRANT THORNTON. Cette démarche, loin d'être un simple partenariat commercial, témoigne de l'ambition de leur ambition respective de diffuser à grande échelle les principes de la RSE et de la santé environnementale.   L'entreprise à mission par l'exemple Seuls, ils pouvaient accomplir de grandes choses, mais ensemble, leurs possibilités sont infinies. L'association avec un géant du conseil et de l'audit leur offre une plateforme pour toucher plus de 10 000 clients et les sensibiliser aux enjeux cruciaux de notre époque. Cette démarche n'est pas une simple expansion commerciale ; il s'agit d'une mission, visant à convaincre, sensibiliser, et donner envie d'agir au plus grand nombre. C’est la raison pour laquelle ils sont confirmés - via un audit externe-  et reconnus « société à mission », dont la raison d’être est : «  Promouvoir un développement pérenne, préservant  l’environnement et la santé de chacun  »   Allier expertises et vision Leurs forces combinées, permettent de créer des outils adaptés à une multitude d'organisations, couvrant tous les secteurs et enjeux de la RSE. Cette symbiose est un puissant moteur de changement, offrant des solutions innovantes, pragmatiques et adaptées à la réalité des entreprises et collectivités d'aujourd'hui.   Un appel à l'action pour Tous Nous partageons cette nouvelle non pas comme une simple annonce, mais comme une invitation à d'autres entreprises, grandes ou petites, à suivre cet exemple. En associant expertise, vision et portée, chaque organisation peut multiplier son impact et contribuer activement à la régénération de notre planète. Ils sont la preuve vivante qu'il est possible de transcender les barrières conventionnelles, de s'associer pour le bien commun, et de créer une dynamique positive irréversible.   Collaboration pour une régénération à grande échelle Ce n'est pas tant la grandeur de l'association qui les inspire, mais plutôt le potentiel de changement qu'elle porte. Chaque organisation, grande ou petite, possède le pouvoir de créer un impact. En associant leurs forces, ils visent à équiper toutes leurs parties prenantes avec les outils et les connaissances nécessaires pour qu'ils deviennent des acteurs à part entière de la régénération environnementale et sociale. Ils croient fermement que la véritable « régénération » ne vient pas seulement des actions individuelles, mais des synergies créées lorsque plusieurs entités partagent une vision commune. L’objectif de 2024 : former les 2500 collaborateurs du groupe aux grands enjeux de la RSE et de la santé environnementale pour ainsi « infuser » dans tout leur éco système.   L’innovation au service de la régénération : La force de la R&D Si la régénération est au cœur de leur mission, c'est grâce à cette volonté constante d'innover et de s’adapter aux besoins changeants des organisations et de la planète. Leur service R&D est une force motrice dans cette dynamique d'évolution continue, développant chaque année des outils avant-gardistes pour répondre, prévenir et anticiper les besoins de demain :   L'empreinte santé® : Au-delà du simple bilan des émissions de gaz à effet de serre, ils ont créé un outil unique mettant en lumière l'impact direct sur la santé humaine : les maladies évitées, les hospitalisations évitées, donnant ainsi une perspective plus large et plus humaine à la mesure de notre impact.   « Tendance RSE® » pour les Experts-Comptables : Conscients que la transition vers une économie plus durable nécessite la participation de tous les acteurs économiques, ils ont conçu un outil pour les experts-comptables. Avec « Tendance RSE® », ils peuvent alerter leurs clients sur les risques multiples – sociaux, environnementaux, juridiques, et bien d'autres – et les orienter vers une démarche RSE structurée.   L’éco-conception des soins : Leur équipe a lancé une initiative visant à réduire l'impact du secteur de la santé, combinant expertise médicale et écologique pour offrir des solutions respectueuses de l'environnement et efficientes en termes de santé publique.2024 sera l’année de la mise à disposition d’un logiciel dédié à l’éco conception des soins, basé sur la méthodologie de l’analyse du cycle de vie adapté aux produits de santé.   Le Bilan Hydrique : L'eau est une ressource précieuse et ils ont créé un outil similaire au bilan carbone pour évaluer et réduire l'empreinte hydrique des organisations. Cela permet non seulement de réduire la consommation d'eau, mais également de surveiller et de minimiser les rejets, y compris les résidus médicamenteux potentiellement nocifs.   Éco-score pour les produits de santé : En cours de développement, cet outil vise à éclairer les choix dans le secteur de la santé, en mettant l'accent sur l'efficacité et l'impact environnemental, afin d'encourager des décisions plus éclairées et plus durables. En combinant recherche, technologie et vision à long terme, ils se positionnent non seulement comme un acteur majeur de la régénération, mais également comme des pionniers, inspirant d'autres entreprises à suivre le chemin de l'innovation responsable.   Le HealthTruck® :  véritable outil de promotion de la santé environnementale, ce camion santé sillonne le sud de la France  chaque été pour former les citoyens et les employés des entreprises et collectivités à la Santé Environnementale : prévention de l’exposition aux perturbateurs endocriniens, aux champs électromagnétiques, aux nanoparticules, prévention des risques chimiques, deviennent des gestes de santé publique au quotidien.   En guise de conclusion provisoire   Notre système économique est en crise, nous le savons. Sans doute car nous avons négligé les conditions du succès en oubliant de prendre en considération l’ensemble de nos éco systèmes. Retenons alors les sept principales clefs d’une organisation dite régénératrice pour nous transformer et nous « métamorphoser » :   Conscience environnementale : Insister sur la nécessité de préserver et de restaurer les ressources naturelles. Cela inclut l'utilisation durable des matériaux, la réduction de l'empreinte carbone et la promotion de la biodiversité. Équité et droits humains : Mettre l'accent sur le respect et la promotion des droits humains dans toutes les opérations de l'entreprise, y compris l'égalité des chances, des conditions de travail sûres et justes, et le soutien aux communautés locales. Qualité de vie au travail : Créer un environnement de travail qui favorise le bien-être et la santé des collaborateurs et associés, avec une attention particulière à l'équilibre travail-vie personnelle, au développement professionnel et à un climat organisationnel positif. Action climatique proactive : S'engager activement dans la lutte contre le changement climatique à travers des initiatives de réduction des émissions, l'investissement dans les énergies renouvelables et la sensibilisation au climat. Économie circulaire et durabilité : Adopter des modèles d'affaires qui minimisent les déchets et maximisent la réutilisation et le recyclage, en favorisant une économie circulaire qui réduit l'impact environnemental. Innovation et adaptabilité : Encourager l'innovation dans les pratiques commerciales et organisationnelles pour s'adapter aux défis environnementaux et sociaux changeants, tout en recherchant des solutions durables. Partenariats et collaboration : Collaborer avec d'autres organisations, gouvernements, ONG et communautés pour partager les meilleures pratiques, développer des solutions conjointes et renforcer l'impact collectif en matière de durabilité.

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