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  • Plan national d’adaptation au changement climatique : s’adapter à +4°C, un aveu d’échec ou un signal d’alarme ?

    Lorsqu’un pays se prépare à faire face à une hausse des températures de +4°C , ce n’est plus de la simple anticipation : c’est un constat alarmant. Une telle élévation des températures aurait des conséquences cataclysmiques sur nos écosystèmes, nos infrastructures et nos conditions de vie. Or, c’est bien ce que prévoit le troisième Plan National d’Adaptation au Changement Climatique (PNACC-3) , récemment présenté par le gouvernement. La France, comme le reste du monde, doit faire face à des sécheresses plus fréquentes, des canicules plus longues, des événements climatiques extrêmes et des menaces accrues sur les ressources en eau et en biodiversité . Mais ce plan est-il réellement à la hauteur du défi ? Quels moyens concrets sont mobilisés pour adapter nos infrastructures, protéger notre santé et garantir un avenir soutenable ? Un budget et des mesures, mais l’urgence d’agir persiste Le PNACC-3 repose sur six axes majeurs , visant à renforcer la résilience du pays face aux impacts du changement climatique. Parmi les mesures phares : ✅ L’eau et la biodiversité : adaptation de la gestion des ressources en eau, préservation des écosystèmes et création de "corridors écologiques". ✅ L’urbanisme et l’habitat : nouvelles réglementations pour la construction, végétalisation des villes, généralisation des îlots de fraîcheur. ✅ L’agriculture et l’alimentation : soutien aux agriculteurs pour développer des cultures plus résistantes et optimiser l’usage de l’eau. ✅ La santé : renforcement des dispositifs de prévention des vagues de chaleur et lutte contre l’expansion de maladies liées au climat. ✅ Les infrastructures : refonte des réseaux de transport, d’énergie et d’approvisionnement pour anticiper les risques climatiques. ✅ La gouvernance et la formation : meilleure sensibilisation et formation des acteurs économiques et territoriaux à l’adaptation climatique. Quel budget pour l’adaptation ? Le gouvernement prévoit une enveloppe budgétaire de 2,3 milliards d’euros dédiés aux premières actions d’adaptation. Mais est-ce suffisant face à des défis d’une telle ampleur ? En comparaison, le coût des catastrophes climatiques en France a dépassé les 10 milliards d’euros par an ces dernières années. Un simple rattrapage, plus qu’un investissement d’avenir. Et la décarbonation dans tout ça ? Si le PNACC-3 insiste sur l’adaptation, il est impératif de rappeler que l’adaptation seule ne suffira pas . Si nous ne réduisons pas drastiquement nos émissions de gaz à effet de serre, les conséquences dépasseront largement nos capacités d’adaptation. Dans ce domaine, plusieurs mesures de décarbonation sont évoquées : 🔹 Accélération des énergies renouvelables et sortie progressive des énergies fossiles. 🔹 Soutien aux solutions bas carbone pour l’industrie, les transports et l’agriculture. 🔹 Incitations pour des bâtiments plus performants énergétiquement. 🔹 Renforcement des formations et de la recherche sur la transition écologique. Formation et nouvelles compétences : un levier majeur Un point essentiel du PNACC-3 concerne la formation . Face à ces défis, il devient indispensable de former les professionnels de demain aux enjeux climatiques et aux solutions bas carbone . Le plan prévoit ainsi : ✔️ Des formations spécifiques pour les architectes, urbanistes et ingénieurs sur la construction résiliente. ✔️ Un renforcement des compétences agricoles pour une meilleure adaptation des cultures. ✔️ L’intégration des enjeux climatiques dans les formations des professionnels de santé . Mais encore une fois, ces mesures sont-elles suffisantes ? Former les acteurs est essentiel, mais il faut aussi des politiques claires et ambitieuses pour accélérer la transition. Conclusion : Adapter, oui… mais surtout ne pas renoncer à décarboner S’adapter à +4°C , c’est reconnaître que nous avons déjà perdu du temps. Ce plan est un signal fort, mais aussi un aveu d’échec des politiques climatiques passées . Nous devons donc massivement accélérer la décarbonation de notre économie , en repensant notre modèle énergétique, nos industries, nos transports et notre alimentation . L’adaptation seule ne sauvera pas nos sociétés si nous ne réduisons pas nos émissions rapidement. Alors, ne nous contentons pas de survivre dans un monde à +4°C. Exigeons un avenir où l’adaptation ne soit pas une fatalité, mais un complément d’une vraie transition écologique.

  • Thermalisme & Santé Environnementale : et si la France devenait le leader mondial d’un thermalisme responsable ?

    Depuis des siècles, l’homme puise dans les eaux thermales des ressources de soin naturelles et puissantes. En France, plus de 100 établissements répartis sur le territoire accueillent chaque année près de 600 000 curistes, pour soulager durablement des pathologies chroniques lourdes. Rhumatismes, arthrose, troubles digestifs, maladies respiratoires, eczéma, anxiété, fibromyalgie... autant de maux pour lesquels l’efficacité des cures thermales est aujourd’hui scientifiquement démontrée. Les études sont formelles : une cure adaptée permet de réduire de  30 à 50 % la prise de médicaments  pour certaines affections, avec des bénéfices prolongés plusieurs mois après la fin des soins. Moins de traitements médicamenteux, c’est moins d’effets secondaires, moins de CO2, moins de déchets pharmaceutiques dans l’environnement, et des coûts allégés pour notre système de santé. Pas étonnant que l’Assurance Maladie prenne en charge ces séjours thérapeutiques. Car oui, le thermalisme soigne. Et il soigne bien. Mais au-delà de ses vertus médicales, le thermalisme porte un potentiel extraordinaire pour devenir  un modèle pionnier de santé durable et responsable . Là où santé, bien-être, tourisme, hôtellerie et médico-social se rencontrent, il est temps d’inventer une nouvelle vision, résolument tournée vers la  Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE)  et la  santé environnementale . Un secteur-clé pour la décarbonation et la préservation des ressources Imaginez des établissements thermaux engagés dans une trajectoire bas carbone :• Maîtrise de l’énergie et recours aux énergies renouvelables• Réduction de l’empreinte hydrique et gestion durable des eaux thermales• Achats responsables et circuits courts pour la restauration et l’hôtellerie• Éco-conception des soins, limitation des déchets, mobilité douce des curistes Le tout dans une logique de territoire, au cœur de zones rurales où le thermalisme fait vivre des bassins d’emploi et dynamise des régions entières. L’enjeu ? Faire du thermalisme français un modèle de  Très Haute Qualité Sanitaire, Sociale et Environnementale (THQSE) , comme un écho aux démarches exemplaires de nos meilleurs établissements hospitaliers. Regard vers le monde : le thermalisme à l’international En Allemagne, les thermes de Baden-Baden intègrent déjà santé et bien-être dans des complexes respectueux de l’environnement. Au Japon, les  onsen  s’inscrivent dans une culture ancestrale de l’harmonie entre corps et nature, avec des pratiques épurées et sobres. L’Italie, quant à elle, valorise le thermalisme préventif et social à Abano Terme. Autant d’exemples inspirants qui montrent que la France a tous les atouts pour aller plus loin.   Un enjeu stratégique pour demain Et si la France devenait la destination de référence pour des séjours santé durables, capables d’attirer des patients et visiteurs du monde entier, sensibles à une approche globale mêlant soins naturels, respect des ressources et excellence hôtelière ? Le thermalisme coche toutes les cases des grands défis contemporains : santé publique, attractivité touristique, dynamisation des territoires et transition écologique. Il est temps de lui donner la place stratégique qu’il mérite. Soigner l’homme, préserver la planète, revitaliser nos régions : et si c’était ça, la grande ambition française de demain ?

  • SPASER : Le virage des achats responsables en santé… et si les industriels prenaient les devants ?

    Discret pour certains, complexe pour d’autres, le SPASER (Schéma de Promotion des Achats Socialement et Écologiquement Responsables) est pourtant en train de devenir un levier structurant – et incontournable – des politiques d’achats hospitaliers. Et cela ne concerne plus uniquement les acheteurs publics : les industriels fournisseurs, eux aussi, vont devoir s’adapter , car ces stratégies influencent directement les critères des appels d’offres et les choix des acheteurs. SPASER : un cadre stratégique puissant Initialement créé pour promouvoir l’économie sociale et solidaire, le SPASER a progressivement élargi son périmètre. Intégré au Code de la commande publique, il oblige désormais les établissements publics de santé dépassant 50 millions d’euros d’achats annuels à publier une stratégie ambitieuse, structurée autour des trois piliers du développement durable : Social (emploi local, inclusion, conditions de travail), Environnemental (réduction des impacts carbone, gestion des ressources, durabilité des produits), Économique (développement territorial, innovation responsable). Porté politiquement, co-construit avec les parties prenantes, le SPASER oriente désormais des décisions d’achat majeures et donne un signal fort aux fournisseurs : il ne suffit plus de proposer un bon produit, il faut prouver qu’il est vertueux sur toute sa chaîne de valeur . La loi Industrie verte : un accélérateur Depuis octobre 2023, la loi Industrie verte a élargi le champ des SPASER et renforcé leur contenu obligatoire : Sobriété numérique, Durabilité et réparabilité des produits, Réduction des consommations d’énergie, d’eau et de matières premières… Bref, des exigences de fond, qui se traduisent progressivement dans les appels d’offres hospitaliers. Les industriels ne peuvent plus les ignorer. Et si les industriels anticipaient, plutôt que de subir ? C’est précisément pour répondre à ce nouveau contexte que nous avons imaginé la démarche RESPONSE RSE® : une méthode innovante et structurée pour accompagner les industriels de la santé dans l’intégration proactive des exigences SPASER dans leur stratégie RSE et leurs réponses aux appels d’offres. Objectif ? ✓ Comprendre les attentes des acheteurs hospitaliers, ✓ Adapter ses produits et services aux nouvelles priorités, ✓ Valoriser ses engagements sociaux et environnementaux dans les dossiers de consultation, ✓ Professionnaliser ses équipes commerciales et marketing sur les enjeux d’achats responsables. Avec RESPONSE RSE® , il ne s’agit plus simplement de répondre aux exigences des marchés hospitaliers, mais bien d’incarner, en amont, la dynamique d’une santé plus durable et plus responsable. Bientôt : un Diplôme Universitaire dédié aux achats responsables en santé Pour aller encore plus loin, nous lançons en septembre 2025 , au CESEGH , le premier Diplôme Universitaire (DU) consacré aux achats responsables en santé . Cette formation inédite réunira acheteurs hospitaliers et industriels autour d’un même objectif : construire ensemble des stratégies d’achat et de réponse aux marchés qui intègrent pleinement la santé environnementale, la responsabilité sociale et l’innovation durable . C’est aussi ça, l’avenir de la santé : sortir des logiques de confrontation pour bâtir des coopérations vertueuses, où chacun – acheteur, fournisseur, territoire – trouve du sens et de la valeur dans une approche globale du soin. La santé de demain se construit aujourd’hui, ensemble.

  • Pourquoi les PME doivent s'engager dans la VSME ?

    Depuis le 1er janvier 2024, la directive CSRD impose aux grandes entreprises de produire un rapport sur leurs impacts environnementaux et sociaux. Si les PME non cotées ne sont pas directement concernées, elles le seront indirectement, car les grandes entreprises doivent désormais évaluer l'impact de leur chaîne de valeur. La norme VSME (Voluntary Sustainability Reporting Standard for Non-Listed SMEs) leur offre un cadre adapté et accessible pour structurer leur engagement en matière de RSE. La VSME : une opportunité pour les PME Les PME jouent un rôle essentiel dans l'économie, mais elles manquent souvent de ressources pour formaliser une stratégie RSE cohérente. La VSME leur permet de : Structurer leur engagement RSE en s'appuyant sur un standard reconnu, facilitant ainsi la communication avec les parties prenantes. Répondre aux attentes des clients et investisseurs , qui demandent de plus en plus de transparence sur les engagements environnementaux et sociaux. Améliorer leur image de marque et attirer de nouveaux talents et partenaires. Un engagement progressif et adapté La VSME est volontaire et modulaire, permettant aux entreprises d’avancer à leur rythme. Elle se compose de trois niveaux : Basic : Informations essentielles sur l'entreprise et ses engagements. Narrative : Description des politiques et actions mises en place. Business Partners : Consolidation des données pour les partenaires commerciaux. Ainsi, une PME peut choisir de commencer par le module de base avant d’évoluer vers un reporting plus complet. Une transition douce et efficace L’adoption de la VSME permet aux PME de se préparer en douceur à un cadre réglementaire qui pourrait devenir obligatoire à terme. Plus cette norme sera adoptée largement, plus elle deviendra un référent implicite du marché. La méthode THQSE® s’avère être un excellent outil d’accompagnement pour structurer cette démarche. Elle permet de prioriser les actions, identifier les bons indicateurs de performance (KPI), mesurer les résultats, sensibiliser les équipes et engager toute la chaîne de valeur . Conclusion : Un levier de compétitivité et d’engagement Les PME qui s’inscrivent dès aujourd’hui dans cette dynamique auront une longueur d’avance. Non seulement elles répondent aux exigences du marché, mais elles anticipent aussi les évolutions réglementaires tout en améliorant leur impact environnemental et sociétal. Le développement durable n’est plus une contrainte mais une opportunité stratégique pour les PME ! https://www.efrag.org/sites/default/files/sites/webpublishing/SiteAssets/VSME%20Standard.pdf

  • LA RSE NE DOIT PLUS ÊTRE UNE «  OPTION » !

    La RSE et la Santé Environnementale, notre raison d’être. Pendant trop longtemps, la Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE) a été perçue comme une « cerise sur le gâteau », un supplément d’âme pour les organisations les plus engagées ou, pire, une option réservée aux « écolos convaincus ». Pourtant, face aux défis majeurs de notre époque, ce regard doit changer. Nous sommes à un tournant critique où la RSE et la Santé Environnementale ne peuvent plus être considérées comme des choix secondaires. Elles doivent devenir le socle sur lequel reposent nos sociétés, nos entreprises, et même nos vies quotidiennes. Il faut se rendre à l’évidence : les solutions pour répondre aux enjeux climatiques, sociaux et environnementaux existent déjà. Nous sommes nombreux à savoir ce qu’il faut faire pour inverser la tendance d’ici 2030 et comment le faire . Cependant, un véritable changement de paradigme est nécessaire. Ce changement ne pourra pas se limiter à des initiatives isolées ou à des obligations légales, comme celles imposées par les lois Grenelle de 2009. Ces lois, bien qu’essentielles à leur époque, ont souvent manqué d’incitation, de contrôle et d’accompagnement pédagogique pour donner envie d’agir. Les entreprises les plus vertueuses n’ont pas été suffisamment valorisées, et les efforts entrepris n’ont pas touché les TPE, PME ou administrations, pourtant indispensables à une transformation globale. Aujourd’hui, les nouvelles réglementations européennes comme la CSRD, la CS3D et la taxonomie verte imposent des contraintes importantes, mais elles se concentrent principalement sur la collecte de données. Cela laisse peu de place aux actions opérationnelles concrètes qui, elles, changeraient profondément nos modes de vie et de production. De plus, ces cadres réglementaires concernent essentiellement les grandes entreprises, excluant des millions d’acteurs économiques qui représentent pourtant près de 90 % des emplois en France. Les petites structures, les collectivités et les administrations publiques sont elles aussi des leviers essentiels pour un changement d’ampleur, mais elles manquent encore de moyens, de connaissances et parfois de volonté. Pendant ce temps, les impacts environnementaux et sanitaires s’accélèrent. La température mondiale augmente plus vite que ne l’avaient prédit les pires scénarios du GIEC. Les maladies chroniques, et en particulier les cancers, connaissent une hausse dramatique, notamment chez les moins de 50 ans. Les ressources naturelles s’épuisent à une vitesse alarmante, et la pollution affecte désormais chaque élément vital de notre existence : l’air que nous respirons, l’eau que nous buvons et les sols qui nous nourrissent. Ces constats sont d’autant plus alarmants que nous savons comment agir. Les solutions sont à portée de main, testées et éprouvées par des acteurs visionnaires à travers le monde. La clé du changement repose sur un engagement plus rapide, plus massif et plus structuré que jamais . Cet engagement ne doit pas seulement émaner des grandes institutions ou des entreprises, mais de chacun de nous. C’est pourquoi il est essentiel de faire de la RSE et de la Santé Environnementale des piliers centraux , non seulement des stratégies d’entreprise, mais aussi des politiques publiques et de nos actions individuelles. La Responsabilité Sociétale Individuelle (RSI) est la pierre angulaire de cette transformation . Elle repose sur un principe simple mais puissant : chaque action compte, et chaque choix quotidien peut contribuer à bâtir un monde plus durable, plus sain et plus harmonieux. La RSI, c’est la puissance de nos décisions quotidiennes . C’est l’idée que l’engagement de chacun, aussi modeste soit-il, a un impact collectif immense. C’est adopter une conscience nouvelle dans nos gestes de tous les jours, pour soi, pour les autres et pour les générations futures. Cette démarche n’est pas utopique : elle est déjà en marche dans de nombreuses organisations qui démontrent qu’il est possible d’agir sans attendre. Des exemples inspirants existent dans chaque secteur, et en partageant ces bonnes pratiques, nous pouvons accélérer la transition. Le temps presse, mais il n’est pas trop tard. Il est important de rappeler qu’un changement aussi ambitieux ne peut se faire sans moyens. Heureusement, des leviers de financement existent pour soutenir ces démarches. Des institutions comme la BPI, l’ADEME, la Banque des Territoires, les agences de l’eau, les chambres de commerce, les régions et les agences régionales de santé offrent des dispositifs pour accompagner la transition écologique et sociétale. Ces financements, souvent méconnus, doivent être mis en lumière pour permettre à tous les acteurs, quels que soient leur taille ou leur secteur, de s’engager pleinement. Pour amplifier ce mouvement, nous lançons en janvier 2025 une initiative baptisée « Ambassadeurs 2030 - 10 PUISSANCE 10 ». Son objectif est aussi simple que puissant : mobiliser plusieurs milliards de personnes en quelques années. Comment ? En partant de 10 participants engagés, chacun convainc à son tour 10 autres personnes de pratiquer 10 éco-gestes simples et accessibles. Ces gestes se transmettent de proche en proche, créant un effet boule de neige exponentiel. Cette démarche repose sur une idée forte : les actions individuelles, multipliées par des milliers, des millions, voire des milliards de personnes, peuvent générer un impact global colossal et positif. Les défis que nous devons relever sont clairs : agir pour le climat, améliorer les conditions humaines et préserver les ressources naturelles. Pour y parvenir, 10 gestes simples seront proposés, adaptés à chacun, et permettant de mesurer concrètement l’impact de nos efforts collectifs. Ce projet n’est pas seulement une campagne de sensibilisation ; c’est un appel à l’action qui repose sur la puissance de la communauté et sur la conviction que le meilleur est encore possible. Ensemble, faisons de la RSE et de la Santé Environnementale non plus une option, mais notre mission commune. Le temps est venu de transformer notre regard, nos habitudes et nos ambitions. Rejoignez cette aventure collective et prenons ensemble le pari d’un avenir meilleur. https://youtu.be/Xj4rv1R-icE

  • Le «  carnet des tendances RSE en santé » : un outil indispensable pour transformer le secteur

    Dans un monde où les enjeux environnementaux, sociaux et économiques se conjuguent pour transformer nos modes de fonctionnement, la responsabilité sociétale des entreprises (RSE) s’impose comme un levier stratégique incontournable. Particulièrement dans le secteur de la santé, où la qualité de vie des patients, l’efficacité des structures et la préservation de l’environnement sont au cœur des préoccupations, il est essentiel de disposer d’un outil capable de synthétiser ces multiples dimensions. C’est dans ce contexte que nous avons élaboré le carnet des tendances RSE en santé, fruit d’une expérience de plus de quinze ans et du suivi de plus de 1200 structures sanitaires, sociales et médico-sociales. Un outil basé sur l’expérience terrain et la donnée Fort de notre accompagnement de centaines d’établissements – hôpitaux, cliniques, EHPAD, laboratoires et groupes hospitaliers territoriaux – notre équipe a constitué une base de données unique. Grâce à des audits externes et à une méthodologie rigoureuse (notamment via l’approche THQSE®), nous avons pu recueillir et analyser des indicateurs clés sur l’évolution des pratiques RSE dans le secteur de la santé. Ce carnet offre ainsi une vision claire des réussites, des défis et des pistes d’amélioration, permettant à chaque organisation de mesurer son impact et d’ajuster ses stratégies en conséquence. Une approche structurée autour de trois piliers Le carnet des tendances RSE en santé s’articule autour de trois axes essentiels, garantissant une approche complète et équilibrée : données et analyses : Une compilation d’indicateurs fiables issus de plus de 1200 structures, permettant de mesurer l’avancement des actions RSE et d’identifier les domaines d’amélioration. témoignages et bonnes pratiques : Des retours d’expérience concrets et inspirants de professionnels engagés, qui partagent leurs initiatives et leurs stratégies gagnantes pour transformer leur environnement de travail. études et recherches : Une synthèse d’études nationales et internationales démontrant que les actions RSE représentent un investissement payant en termes d’attractivité, de productivité et de rentabilité. Un appel à la transformation durable Le carnet ne se contente pas de dresser un état des lieux ; il propose également des pistes concrètes pour agir. Il révèle l’état actuel des pratiques RSE dans plus de 1200 structures et offre des clés pour : Comprendre les enjeux environnementaux actuels, tels que l’augmentation des températures et la perte de biodiversité. Identifier les réussites et les défis dans la gestion des ressources et l’amélioration de la qualité de vie au travail. Mettre en œuvre des stratégies inspirées de témoignages de professionnels et d’études approfondies qui montrent que la RSE peut booster l’attractivité et la rentabilité des organisations. Téléchargez le carnet et engagez la transformation Le carnet des tendances RSE en santé n’est pas qu’un simple rapport : c’est un outil stratégique qui vous aide à anticiper les transformations, à identifier les leviers d’action et à piloter votre stratégie RSE de manière efficace. Que vous soyez décideur, gestionnaire ou professionnel du secteur de la santé, ce document vous offre une vision intégrée et opérationnelle des enjeux actuels et futurs. 👉 Téléchargez dès maintenant votre exemplaire en cliquant sur ce lien : https://www.agenceprimum.fr/carnet-des-tendances/ Rejoignez-nous dans cette démarche pour transformer le secteur de la santé. Ensemble, faisons de la RSE une réalité concrète et durable pour un avenir plus sain et responsable ! RSE4LIFE – Pour une responsabilité sociétale qui inspire et transforme.

  • "Et Pourquoi Pas ?" – L’audace comme moteur du changement

    Introduction : Les deux familles de la RSE Dans le vaste univers de la Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE), nous croisons chaque jour deux types d’individus bien distincts :👉 Ceux qui appartiennent à la famille du "C’est Pas Possible" (les C PP ). Ils sont les gardiens du statu quo, ceux qui voient des obstacles à chaque initiative et qui répètent inlassablement que "ça ne marchera jamais". 👉 Et puis, il y a les membres de la confrérie du "Et Pourquoi Pas ? »( les EPP). Ceux qui explorent, innovent, tentent et réussissent parfois là où d’autres n’ont même pas osé essayer. La question est simple : qui gagne à votre avis ? 🏆Les chiffres parlent d’eux-mêmes : chaque avancée en matière de transition écologique, de gouvernance durable ou de transformation sociale a été impulsée par ceux qui ont osé dire « Et pourquoi pas ? » . RSE et RSE : une fusion nécessaire La transition écologique ne peut plus se permettre de traîner. Face à l’accélération des événements climatiques extrêmes et à leurs conséquences sur la santé humaine, animale et des écosystèmes, nous devons changer de regard et de posture . La RSE (Responsabilité Sociétale des Entreprises) ne se limite pas à des engagements écrits. Elle doit fusionner avec la RSE (Résilience Systémique Écologique) pour devenir une dynamique d’action réelle et concrète, englobant : ✅ Un changement d’attitudes individuelles et collectives ✅ Une accélération des transitions à tous les niveaux ✅ Une vision One Health : un même système interconnecté pour la santé humaine, animale et environnementale S’inspirer des esprits audacieux L’humanité a toujours progressé grâce à ceux qui ont osé croire en l’impossible. Plusieurs penseurs et inventeurs nous rappellent que c’est en essayant que l’on réussit : 📌 Les Shadoks nous enseignent : « C’est en essayant continuellement que l’on finit par réussir. 📌 Épictète nous rappelle : « Décide et tu seras heureux. » 🧠 📌 Benjamin Franklin nous éclaire : « L’homme n’est pas prisonnier de son destin, mais de son propre esprit. » 🌍 Et en neurosciences, l’ effet Pygmalion (ou prophétie autoréalisatrice) démontre que c’est en croyant dans les capacités des autres que l’on augmente leur chance de réussir . Appliquez-le ! Encouragez, soutenez et inspirez votre entourage, vos collègues, vos enfants, au lieu de freiner leurs élans par un scepticisme stérile. Conclusion : " Au pire… ça marche !" Le monde bouge, et nous devons avancer avec lui. Si vous avez un projet et que vous êtes entouré de sceptiques du type « c’est pas possible » , ou « ouais, t’as raison…, mais... » , ne vous laissez pas freiner ! Rappelez-vous : " au pire… ça marche !" 🚀 Alors, osez. Testez. Expérimentez. Et surtout, croyez en l’avenir que nous pouvons construire, ensemble.

  • Une BD pour transformer le monde, avec humour et action !

    « Et si… nous changions le monde ? » Une BD pour transformer le monde, avec humour et action ! Nous vivons une époque où les défis environnementaux, sociaux et économiques se multiplient. Loin de se résigner, « Et si… nous changions le monde ? » est une bande dessinée engagée et inspirante, écrite par Olivier Toma et illustrée par Sabine Chapelle . Loin du catastrophisme ambiant, cet ouvrage mise sur l’humour, la pédagogie et des solutions concrètes pour aborder les grands enjeux de notre siècle : la RSE, la santé environnementale, l’économie circulaire, le climat et les éco-gestes du quotidien . Une BD pour comprendre, agir et s’engager Pourquoi une BD sur ces sujets ? Parce qu’informer ne suffit pas. Il faut rendre l’action accessible, ludique et enthousiasmante ! À travers des personnages attachants et des situations du quotidien, cette BD propose : ✅ Des clés de compréhension simples et efficaces sur les enjeux environnementaux et sociaux. ✅ Des éco-gestes concrets pour agir à son échelle. ✅ Une approche One Health : car notre santé est liée à celle de notre planète. ✅ Des décryptages pour ne plus se faire piéger par le greenwashing et les fausses promesses marketing. Un ouvrage indispensable pour tous 📖 « Et si… nous changions le monde ? » est le livre à mettre entre toutes les mains : ✔️ Les curieux qui veulent comprendre sans prise de tête. ✔️ Les sceptiques qui pensent que les petits gestes ne comptent pas. ✔️ Les convaincus en quête d’arguments et d’astuces pour embarquer leur entourage. ✔️ Les entreprises et les écoles qui souhaitent sensibiliser autrement. 📌 Disponible dès maintenant sur la FNAC : https://www.fnac.com/a21198224/Olivier-Toma-Et-si-nous-changions-le-monde 📌 Rejoignez le mouvement ! Signez la charte Ambassadeur 2030 pour vous engager dans une démarche de responsabilité sociétale individuelle : Charte Ambassadeur 2030 : https://www.agenceprimum.fr/10-puissance-10-la-responsabilite-societale-individuelle-rsi-accessible-a-tous/ Et si… c’était à vous de jouer maintenant ? 🌍💚

  • « DIRS » : Une nouvelle voie pour la RSE, ancrée dans nos racines latines

    Pourquoi DIRS ? Dans un monde où les acronymes anglo-saxons dominent la scène de la RSE (Responsabilité Sociétale des Entreprises), il est temps de reprendre la main sur notre langage et notre culture. La Corporate Sustainability Reporting Directive (CSRD), la Corporate Sustainability Due Diligence Directive (CS3D) et tant d’autres sigles s’imposent comme des normes incontournables, mais leur abstraction et leur anglicisme les éloignent souvent de leur véritable mission : créer un cadre éthique, durable et universel pour guider les organisations vers un avenir plus responsable. DIRS, pour Directiva Integritatis et Responsabilitatis Sustinebilis , propose une alternative fondée sur nos racines latines. Ce choix n’est pas anodin : il incarne une volonté de réappropriation culturelle et philosophique, tout en ancrant la RSE dans un héritage de rigueur, de transparence et d’éthique. Redonner du Sens à la RSE La RSE ne doit pas être un effet de mode dicté par des tendances économiques, mais un fondement structurant de toute organisation. Adopter un cadre de pensée inspiré du latin permet de rappeler que l’éthique et la responsabilité sont des valeurs intemporelles, ancrées dans une histoire qui dépasse les impératifs du marché. Les mots choisis dans DIRS ne sont pas qu’une simple traduction : Directiva : Une directive, une orientation ferme et structurante. Integritatis : L’intégrité, principe fondamental de la confiance et de la transparence. Responsabilitatis : La responsabilité, au cœur des engagements sociétaux et environnementaux. Sustinebilis : La soutenabilité, la durabilité dans le sens profond du terme, qui dépasse le simple concept de « sustainability » en anglais. Une RSE plus " Latine" : Nos actualités et références Le latin est la langue des fondements philosophiques du droit, de la morale et de la civilisation européenne. À travers DIRS , nous proposons de redonner à la RSE une portée plus large, qui dépasse les seules normes économiques pour embrasser une vision du bien commun. Quelques références actuelles inspirées de cette vision latine : Primum Non Nocere ( D’abord, ne pas nuire ) : Déjà ancré dans la santé, ce principe peut être un guide universel pour éviter les impacts négatifs avant même d’envisager des améliorations. Bonum Commune ( Le bien commun ) : Un concept central qui rappelle que toute entreprise a une responsabilité envers la société et l’environnement. Lex Naturalis ( La loi naturelle ) : Un rappel que nos actions doivent s’aligner avec les principes fondamentaux du respect de la nature et des générations futures. Veritas et Aequitas ( Vérité et Équité ) : Deux valeurs essentielles pour éviter le greenwashing et instaurer une transparence réelle dans les engagements RSE. Faire de cette dynamique DIRS un nouveau levier Adopter DIRS, c’est faire un choix : celui de ne plus subir des cadres de pensée dictés par des logiques anglo-saxonnes, mais de redonner à la RSE une assise culturelle et philosophique forte. C’est aussi rappeler que la responsabilité et l’éthique ne sont pas de simples contraintes réglementaires, mais des principes structurants d’une société durable. Ensemble, faisons de DIRS un nouveau standard, une référence qui replace l’intégrité, la responsabilité et la soutenabilité au cœur des organisations, en lien avec notre héritage et notre avenir commun.

  • Comment maîtriser nos impacts écologiques du développement de l’IA ?

    Un monde qui se réchauffe, une urgence qui s’accélère Janvier 2025 a été le mois de janvier le plus chaud au niveau mondial jamais enregistré , annonce Copernicus le 6 février 2025, et ce, malgré le retour de La Niña. La température moyenne de l’air a atteint 13,23 °C , dépassant de 1,75 °C la moyenne de l’ère préindustrielle. En Europe, la température moyenne a été de 1,80 °C , soit 2,51 °C au-dessus de la moyenne de janvier sur la période 1991-2020. Ces chiffres alarmants confirment une tendance lourde : le réchauffement climatique s’accélère, et avec lui, l’urgence d’agir. Dans ce contexte, l’intelligence artificielle (IA) apparaît comme un outil incontournable pour répondre aux défis du XXIe siècle. Cependant, cette révolution technologique n’est pas sans conséquences pour notre planète. D’ici 2030, l’IA pourrait représenter 7,3 % de nos émissions de gaz à effet de serre (GES) . Face à cette réalité, il est essentiel d’intégrer cette donnée dans nos plans de transition écologique. Mais comment anticiper et maîtriser ces impacts tout en continuant à profiter des avantages de l’IA ? Voici quelques pistes pour agir dès maintenant. 1. Calculer son empreinte numérique : le premier pas vers la maîtrise Pour agir, il faut d’abord mesurer. Chaque entreprise ou administration doit calculer son empreinte numérique . C’est pourquoi nous avons développé cette année un « Impact Score CO2 du numérique » , basé sur l’analyse du cycle de vie. Cet outil permet de mesurer, comprendre et réduire l’empreinte carbone liée à l’utilisation des technologies numériques, y compris l’IA. 2. Choisir un modèle d’IA durable Tous les modèles d’IA ne se valent pas en termes d’impact environnemental. Par exemple, certains modèles comme DeepSeek sont conçus pour être plus économes en énergie que d’autres, comme ChatGPT , qui peut être jusqu’à dix fois plus énergivore que des moteurs de recherche classiques comme Google. Lorsque vous optez pour une politique d’achat durable, il est crucial de choisir un modèle d’IA moins impactant en termes de consommation énergétique et d’émissions de CO₂. 3. Optimiser les data centers : l’importance de la PUE La Power Usage Effectiveness (PUE) est un indicateur clé pour évaluer l’efficacité énergétique d’un data center. Plus la PUE est basse, plus le data center est efficace. Il est donc essentiel de choisir des data centers avec une PUE faible et de ne pas hésiter à changer de fournisseur dès que de nouvelles technologies plus performantes apparaissent. 4. Miser sur l’autoconsommation Les réglementations et les subventions encouragent de plus en plus l’ autoconsommation énergétique . Par exemple, nous sommes déjà capable à Béziers de produire 65 % de notre consommation annuelle d’énergie . En investissant dans des solutions d’autoconsommation, vous réduisez votre dépendance aux énergies fossiles et diminuez votre empreinte carbone. Compenser et repenser les déplacements Saviez-vous que 34 % de l’empreinte carbone en France est liée aux transports ? Est-il encore cohérent de traverser la planète pour assister à un séminaire de deux jours ou de faire huit heures de transport pour une réunion de deux heures ? La réponse est non. Heureusement, des solutions existent pour réduire ces impacts: 6. La MÉTAFORMATION et les MÉTACONFÉRENCES : le modèle de demain La MÉTAFORMATION et les MÉTACONFÉRENCES sont des solutions innovantes qui permettent de supprimer les déplacements , les frais d’hôtel et la logistique tout en offrant une expérience immersive et interactive. Grâce à des lunettes connectées à 360°, les participants peuvent se retrouver en direct, utiliser des outils traditionnels (tableaux, paperboards, sous-groupes) et échanger en temps réel. Gain de temps : Les parcours de formation sont fluides, avec une heure par semaine sur trois mois, sans contraintes de déplacement. Gain financier : Réduction des coûts liés aux transports et à l’hébergement. Gain environnemental : L’empreinte carbone est divisée par 4 par rapport à une formation traditionnelle. Conclusion : L’advertance au service de la transition Maîtriser l’impact écologique de l’IA dans le futur revient à mesurer notre empreinte , anticiper nos choix avec une politique d’achat responsable et profiter de l’innovation en conscience . La MÉTAFORMATION et les MÉTACONFÉRENCES sont des exemples concrets de solutions qui allient performance et respect de l’environnement. En agissant dès maintenant, nous pouvons faire de l’IA un allié de la transition écologique plutôt qu’une source de pollution supplémentaire. L’advertance – cette capacité à anticiper et à agir en conscience – est la clé pour un avenir durable.

  • Le Label Service France Garanti

    "Une Nouvelle Reconnaissance pour Notre Engagement : La Genèse du Label Service France Garanti. Le label Origine France Garanti (OFG) est depuis plusieurs années une référence en matière de traçabilité et de qualité des produits fabriqués en France. Aujourd’hui, ce label évolue avec une nouvelle déclinaison : le Service France Garanti . Cette extension vise à valoriser les services conçus et réalisés en France, garantissant ainsi leur origine et leur qualité. Pour nous, PRIMUM NON NOCERE , cette reconnaissance est une étape majeure. Nous sommes fiers d’être l’une des premières sociétés de conseil en France à obtenir ce label, qui vient récompenser notre engagement en faveur de la Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE) , du développement durable et de la santé environnementale . Pourquoi Ce Label Est-Il Important ? Le label Service France Garanti est bien plus qu’une simple certification. Il incarne une démarche d’excellence et une garantie de qualité pour nos clients. En choisissant des services labellisés, vous contribuez à : Créer des emplois locaux et renforcer l’économie française. Soutenir le maillage territorial , en favorisant des services ancrés dans nos régions. Bénéficier d’un niveau de qualité supérieur , sans surcoût. Ce label est une preuve tangible de notre engagement à fournir des services qui respectent les normes les plus exigeantes, tout en ayant un impact positif sur notre territoire. Notre Engagement en Chiffres Accompagnement RSE : Plus de 12000 entreprises accompagnées dans leur transition durable. Audits énergétiques : Une centaine diagnostics précis pour réduire l’impact environnemental. Formations et e-learning : Des programmes sur mesure pour sensibiliser aux enjeux RSE, 1000 apprenants par an. Et Maintenant ? Cette certification est une nouvelle étape dans notre parcours, mais aussi une invitation à aller plus loin. Nous continuerons à innover, à accompagner nos clients vers des pratiques plus responsables, et à promouvoir des services de qualité, made in France . Nous vous engageons, chers lecteurs, à privilégier les produits et services labellisés. En faisant ce choix, vous soutenez non seulement l’économie locale, mais vous optez aussi pour une qualité irréprochable. Ensemble, construisons un avenir plus durable et plus solidaire.

  • Réduire notre consommation de viande rouge : un enjeu pour notre santé et celle de la planète

    Réduire notre consommation de viande rouge : un enjeu pour notre santé et celle de la planète La consommation excessive de viande rouge, notamment transformée, est associée à un risque accru de démence et de déclin cognitif. https://www.jim.fr/viewarticle/lexc%C3%A8s-viande-rouge-favorise-t-il-d%C3%A9clin-cognitif-2025a10002ud?ecd=wnl_all_250205_jim_daily-doctor_etid7207994&uac=434367BV&impID=7207994&sso=true Au-delà des impacts sur la santé, l'élevage intensif de viande rouge a des conséquences environnementales significatives. Il contribue à 14,5 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre, principalement en raison de la production de méthane par les ruminants. De plus, l'élevage est responsable de 80 % de la déforestation mondiale, notamment pour la culture du soja destiné à l'alimentation animale. Face à ces constats, il est essentiel d'adopter une approche "One Health", reconnaissant l'interdépendance entre la santé humaine, animale et environnementale. Pour cela, nous pouvons : Réduire notre consommation de viande rouge : viser moins de 500 g par semaine, conformément aux recommandations du Programme National Nutrition Santé. notre-environnement.gouv.fr Privilégier des sources de protéines alternatives : intégrer davantage de légumineuses, de céréales complètes et de protéines végétales dans notre alimentation. Soutenir des pratiques d'élevage durables : encourager les producteurs locaux engagés dans des méthodes respectueuses de l'environnement et du bien-être animal. Le secteur de la restauration a un rôle clé à jouer en proposant des menus équilibrés et en sensibilisant les clients aux bienfaits d'une alimentation diversifiée. Nous appellons nos extraordinaires écoles hotelieres Françaises à faire de cet enjeux une priorité nationale . Ensemble, citoyens et professionnels peuvent contribuer à un avenir plus sain et durable.

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